Pouvez-vous dire, vous lecteur, que vous n'utilisez pas Internet ? Pour vous procurer ce mémoire, vous avez : soit obtenu le support papier, soit vous êtes allé sur internet pour lire la version wiki de notre travail ; vous avez donc dû accéder à ce vaste réseau qu'est l'Internet. Vous l'aurez certainement remarqué, l'Internet que nous connaissons actuellement, en 2007 a beaucoup évolué depuis son origine (dans les années 1960). A quelle logique le nouveau Web aussi appelé par nos contemporains : Web 2.0 répond-il ? Comment l'accélération du besoin de communauté, de partage des internautes, associé à des progrès technologies en constante évolution ont permis d'imposer cette version d'Internet ?
Internet a été créé à la base par les militaires pour être utilisé par les militaires eux-mêmes. Ils cherchaient à parer une attaque de leur QG et de voir ainsi l'ensemble de leur base de données détruite d'un seul coup. En mettant l'ensemble de leurs ordinateurs en réseau, et permettant à ces ordinateurs de communiquer les uns avec les autres, ils bâtirent la première plate-forme d'échange que l'on connaît sous le nom de Web. Ainsi, si une des installations venait à disparaître, les autres existant toujours pourraient continuer à survivre puisque possédant les mêmes données que la base initiale.
Comment l'Internet à ses prémices est-il devenu l'Internet que nous connaissons, en 2007 ? L'Internet a connu un certain nombre de mutations, modifiant l'essence même de la Toile. Il a été convenu d'appeler la première version du Web : le Web 1.0. Toujours existant sur la Toile, le Web 1.0 répond à la première vision de l'Internet, c'est-à-dire des sites (les plateformes) où le webmaster (l'éditeur du site) enregistre un certain nombre d'informations qu'il souhaite partager avec son futur lectorat. Nous sommes alors dans une situation tout à fait particulière : l'internaute est alors passif devant son écran d'ordinateur, il reçoit l'information que lui donne le site et ne peut interagir avec le site (ou le webmaster) que de manière très limitée (par l'intermédiaire d'e-mail).
Ce Web 1.0 ferait donc partir d'un ancien modèle démodé, mais qu'en est-il du nouveau modèle que l'on appellera donc Web 2.0 ?
[...] (cf. le site internet www.ecrans.fr) L'effet pervers est que la non-appartenance à ces sites peut être à l'origine d'une exclusion sociale. C'est le cas notamment en Corée avec Cyworld. En effet, Cyworld est devenu un aspect très important de la personnalité des jeunes coréens et représente une constante obsession sociale. Ceux qui ne possèdent pas leur propre compte risquent alors d'être rejetés du groupe auquel ils appartiennent. Entrer dans ce monde ne suffit pas, il faut ensuite s'efforcer d'entretenir sa présence. [...]
[...] L'Internaute est alors actif. Il s'agit d'un des exemples les plus intéressants et des plus pertinents pour parler du Web Car sans la participation des internautes, Wikipédia n'existerait même pas. Les premiers mots de la Constitution américaine de 1787 débutent par We the People Cette formule pourrait être reprise à notre compte pour expliquer le fondement de la nouvelle ère Internet. Elle n'est alors plus qu'une expression politique mais est bel et bien une incantation de l'espoir dans le pouvoir de la masse. [...]
[...] Le problème réside également en l'anonymat de certains membres de cartels qui peuvent alors se mettre en contact avec des internautes ignorant tout de leurs activités. Cependant certains signes apparents résident et montrent que les auteurs de ces messages sont bel et bien les acteurs ou du moins les complices de faits réels liés à la mafia. (cf. article la mafia accro aux blogs Courrier International hors série). La mafia s'illustre également de manière significative sur les sites de paris en ligne. [...]
[...] Mais qui dit développement, dit rentrée d'argent. Comment ces sites peuvent-ils récupérer des fonds, afin de grandir et gagner toujours plus en popularité? Différents moyens sont alors exploités : la publicité est le moyen le plus visible pour un site de gagner de l'argent, ensuite les donations peuvent dans certains cas (sites de type ONG, agissant pour les bonnes causes), et le plus intéressant des moyens ne permet pas spécialement de gagner de l'argent au sens propre, mais plutôt de gagner de l'influence qui pourra servir plus tard pour en amasser. [...]
[...] Le nouveau projet : l'impression, sur les chips qu'elle commercialise, du logo de l'entreprise. L'idée provient dans un premier temps d'un directeur qui doit alors trouver le moyen par lequel il pourra mettre en œuvre sa nouvelle trouvaille. Il soumet alors à son équipe de Recherche & Développement qui doit, avec des ressources limitées, résoudre cet épineux problème. Lorsqu'un des chercheurs finit par découvrir la solution au projet (ici, l'impression sur une surface convexe qui plus est : fragile), l'entreprise fait breveter la solution, se réservant ainsi son application et remercie le chercheur par une prime (ce qui encourage le reste du corps à travailler d'avantage). [...]
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