La maîtrise de la reproduction - publié le 04/06/2009

Extraits

[...] On appelle cette technique : injection intracytoplamisque d'un spermatozoïde (ICSI). - Diagnostic pré-implantatoire : Permet à un couple qui risque de transmettre une maladie génétique, de réaliser une fécondation in vitro puis de n'implanter que les embryons sélectionnés non atteints. Cependant le fait de trier des embryons peut présenter des risques d'eugénisme : vouloir améliorer la race humaine, en supprimant des caractéristiques néfastes - Gestation par autrui : C'est la transplantation d'embryons chez une mère porteuse (interdite en France). La gestation par autrui s'adresse à des femmes stériles à cause de problèmes au niveau de l'utérus, qui les empêchent d'assurer le développement de l'embryon, car l'endomètre permet son développement après la nidation. [...]

[...] Elle exerce en permanence un rétro-contrôle négatif sur le complexe hypothalamo-hypophysaire. - Le taux de FSH et LH reste bas, donc la croissance folliculaire est arrêtée. - Absence du pic de LH, donc il n'y aura pas d'ovulation. - La muqueuse utérine évolue peu et la glaire cervicale devient imperméable au passage des spermatozoïdes durant tout le cycle sexuel de la femme. Le micro pilule : Elle contient uniquement un progestatif, elle n'empêche pas l'ovulation mais elle agit sur la glaire cervicale et sur la muqueuse utérine. [...]

[...] Il existe aussi le don d'ovocyte dans le cas où la femme ne produit pas d'ovocyte fécondable. - La fécondation in vitro et transfert d'embryon (FIVETE) : C'est une solution en cas d'obstruction des trompes ou des problèmes de stérilité inexpliqués. Un traitement hormonale provoque des ovulations multiples puis on prélève les ovocytes, les follicules mûres et une fécondation in vitro est réalisée avec du sperme qui a suivi un traitement pour augmenter son pouvoir fécondant. Les cellules œufs obtenues sont mises en culture et au bout de trois jours, quelques embryons sont introduits dans l'utérus maternel. [...]

[...] - Le RU486 ou pilule abortive, doit être prise dans les 5 à 7 semaines de début de grossesse. La molécule de RU486 a une partie analogue à la progestérone, elle se fixe donc à sa place au niveau des récepteurs des cellules de l'endomètre, mais sans jouer son rôle. Ceci entraîne la dégénérescence de l'endomètre et interrompt le début de la grossesse (méthode contragestive). - L'IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) consiste à éliminer l'embryon en milieu hospitalier. Cette pratique est autorisée jusqu'à la 12e semaine de grossesse. [...]

[...] A partir des cellules prélevées, on peut obtenir un caryotype du fœtus qui va permettre de détecter d'éventuelles anomalies chromosomiques ou des maladies génétiques. Le résultat peut conduire à proposer une interruption médicale de grossesse possible jusqu'au terme de la grossesse. Problème Biologique : Comment une aide médicale permet de surmonter les problèmes de la stérilité d'un couple ? Les causes de la stérilité Les causes de la stérilité sont multiples, dans 40% des cas, le problèmes concernent les deux membres du couple. [...]