La nature fait-elle bien les choses ? - publié le 14/02/2016

Extraits

[...] La nature ne fait pas bien les choses, elle tue. Ainsi, le destin de l'homme est déterminé par les caprices de cette nature ; qui a elle-même donné à l'homme une intelligence pour qu'il puisse se détruire, se protéger d'elle. C'est le jeu du chat et de la souris et ce n'est plus au tour de l'homme de chasser. Ainsi, nous pourrions comparer Gaïa, déesse de la Terre et la Nature qui, toutes deux, cherchent à se venger de leurs enfants. [...]

[...] Ce que la nature fait nous paraît toujours à la fois simple et complexe ; chaque être vivant semble être simple physiquement, mais c'est une réussite de la nature, qu'il soit beau ou laid. Prenons comme exemple le chou romanesco. C'est une simple plante, mais d'une forme mathématiquement très particulière. Cette espèce n'est pas rare, la nature ne crée alors que de simples copies de ce qu'elle sait déjà faire. Elle agit comme un mécanisme, une horloge qui tourne et qui se détracte de temps en temps. Elle n'a pas conscience de ce qu'elle fait ; elle les fait, c'est tout. [...]

[...] Cette nature fait-elle vraiment bien les choses ? La totalité des maladies sont naturelle ou alors enrichie par l'homme (composants toujours naturels), ce qui revient à dire que tout comme les médicaments, les maladies sont naturelles. La nature ne semble pas avoir fait si bien les choses finalement. Tout est pour le mieux, dans le meilleur des mondes possibles. La théorie de Lebniz est largement controversée et peut soutenue aujourd'hui, la nature tuant aussi aisément qu'un poignard (Hunger Games. Partie 1). [...]

[...] La nature fait-elle bien les choses ? Introduction : Dans la vie de tous les jours, nous pouvons voir que la nature qui nous entoure est un cadre idéal dans lequel nous évoluons. En effet, la nature désignant ce qui est à l'origine des êtres vivants, nous pouvons dire que c'est une mère pour les êtres vivants et donc la mère de la nature. Néanmoins, la nature peut être également source de conflit et détruire, abîmer et violenter les êtres qui la composent et l'entourent. [...]

[...] La nature est donc un automate qui répète toujours les mêmes mouvements. N'ayant pas la conscience du bien et du mal, elle crée et détruit invariablement, sans pitié ni méchanceté. Nous avons donc vu les différents aspects et mentalités de la nature ainsi que son principe de neutralité. La nature est donc un système mécanique qui vise à maintenir une certaine cadence afin de créer une harmonie entre les espèces. L'homme peut l'influencer, mais c'est elle qui aura le dernier mot. [...]