Intégration et personne handicapée

Extraits de l'exposé

[...] Dans les TGV, les personnes valides prennent distance des handicapés. Ils se sentent mal à l'aise, adopte un comportement stéréotypé, et cherche à couper l'interaction. Face à ces représentations sociales négatives, la personne handicapée se perçoit , différemment selon son vécu, sa situation personnelle, et varie selon l'adaptation à son handicap. Chez la femme, les défigurations sont mal vécues et chez les hommes, il s'agit des handicapés orthopédiques. On dégage trois étapes successives chez la personne handicapée : -période de déni ou d'euphorie : la personne refuse son état -prise de conscience -période intégrative : le sujet se reconnaît et s'accepte Les personnes handicapées seraient plus insérées qu'intégrées, car il est rare que la société change son mode de fonctionnement pour les personnes handicapées. [...]

[...] La notion de handicap est lié aux structures économiques et sociales. L'infirme est considéré comme impur selon les opinions judeo chrétienne. A cette époque, le rejet social est lié à l'interdit culturel, mais relève plutôt de la peur de l'anormal. L'époque du Moyen Age, a toléré la déviance physique. En 1500 est crée la banque des pauvres, soit l ?ancêtre de l'assistance publique de nos jours. Du 19ème siècle à la loi de 1975, on passe de la reconnaissance au reclassement professionnel. [...]