La Banque Mondiale et la protection de l'environnement

Extraits de l'exposé

[...] Les accords généraux ont été appliqués à toutes les catégories de programmes comprenant, la biomécanique, la variété biologique, la croissance sociale etc. Le fonctionnement du programme est devenu irréalisable, et le personnel de la banque a jugé ces accords inadéquats pour l'application du programme. Des critiques qui étaient mentionnées à l'échec, du point de vue de la banque, de l'effort pour la protection de l'environnement ont utilisé l'exemple de ces programmes. Des cas intéressants peuvent être discernes lors des travaux, où à l'encontre des clauses générales, les accords légaux comprenaient des mesures spéciales pour la protection de l'environnement. [...]

[...] On exige des États développés de s'engager, au sujet leurs réserves financières et des évolutions technologiques, uniquement à l'ampleur leur accomplissement. On considère que l'aspect de l'application du traité constitue une préoccupation commune de tous les membres et ne ceux-ci doivent pas être conduits à des conclusions erronées du type comme toutes celles qui ont pour objectif le bénéfice d'un seul État. LA POSITION DE LA BANQUE MONDIALE Il n'est pas permis à la banque qu'elle devienne un membre de la Climate Change Convention et du Protocole de Kyoto. Ses fonctions sont déterminées par ses propres Articles. [...]

[...] Dans ces cas il dépend du jugement de l'État comment combiner l'application des deux d'obligations contraires. Les pays développés, s'ils se soumettent des programmes qui sont fixés par la banque, ils ne violeront pas les obligations du traité alors qu'ils ne sont pas liés par les obligations du Protocole de Kyoto. De tout ceci, il est probable que l'augmentation de l'émission des gaz à effet de serre soit accompagnée aussi par le besoin de l'augmentation de l'énergie vers consommation. Est posée cependant la question si les pays développés peuvent appliquer un programme, même-si ce programme sape leur capacité future de devenir des membres du traité. [...]

[...] La Banque Mondiale joue un rôle très important à l'application de la Climatic Change Convention en agissant en tant que garante pour la Global Environmental Facility. Comme précité ci-dessus, la Banque Mondiale contribue à la croissance économique, et l'augmentation du niveau de vie de ses Etats membres, fait qui résulte de la pollution ultérieure de l'environnement. La Climatic Change Convention se confronte au problème du changement des conditions climatologiques de la planète, conséquence de l'émission continue de gaz à effet de serre dans l'atmosphère. [...]

[...] Ce principe empêchera la banque de financer des programmes lesquels violent les obligations qui sont posées par la Climate Change Clause. L'Operational Manual Statement 2.36 a été remplaceé par l'Operational Policy and Business Procedures 4.01 on Environmental Assessment. Le dernier soutient que des prélèvements environnementaux pour les programmes lesquels seront financés par la banque devront recevoir sous cet aspect les conditions qui sont fixées au paragraphe 3 de l'Operational Policy Les directeurs exécutifs ont également approuvé l'Operational Policy 7.01 avec lequel la banque devra éviter des situations - situations lesquelles viendront en opposition avec le règlement intérieur concret de chaque membre. [...]